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Journal d'une fille facile ...
6 juillet 2011

06 juillet 2011

De coups de téléphone incessants en mails envahissants, Elle ne me lâche plus. 
Elle a peur que je ne veuille plus la voir.  Elle est très jalouse et possessive. 
Elle dit qu'elle m'aime.
Elle ne veut plus que je vois personne d'autre qu'Elle.

Depuis plusieurs semaines, Elle est la seule fille que j'aie rencontré.
Elle fait tout et n'importe quoi pour moi, acceptant le pire, subissant avec le sourire.
Je ne suis pas toujours gentille avec Elle.
Elle pense que je la mets à l'épreuve une fois de plus.

Alors ce matin, une fois de plus, elle débarque chez moi à 6h.  Elle a toujours été très matinale.
Et une fois de plus ce matin, Elle me fait une démonstration de sa dévotion au milieu de mon salon.
J'ai peu dormi, je suis fatiguée, je n'ai pas envie de jouer. 
Ce n'est ni le lieu, ni l'instant.

Alors Elle recommence.  Elle se déshabille, faisant pointer fièrement ses seins magnifiques, recouverts par ses longs cheveux.  Mais cette fois-ci, pas de larmes.  Elle ne dit rien.
Je la regarde, sans un mot.  Je suis fatiguée de son cinéma.
Et Elle, imperturbable, se dirige vers la fenêtre. Nue.  Elle ouvre le rideau et me dit qu'elle restera là, offerte, exhibée à la vue de tous.

Je souris. Cette petite garce qui me rend la vie impossible depuis 3 jours.

Je ne m'inquiète pas pour Elle.  Elle a toujours été assez exhib et ce n'est pas le regard des gens qui vont la déranger.  Au contraire.

Je m'approche d'Elle et l'attrape doucement par le bras :

- Ne reste pas là comme ça
- Pourquoi pas ?
- Parce que ...
- Pas envie que je me fasse mater ? Jalouse ?
- Non, fatiguée de tes bêtises...
- Tu es jalouse mais tu ne le diras pas...
- Non, je ne suis pas jalouse.  Si tu veux montrer ton cul, c'est toi que ça regarde mais...
- Mais... tu es jalouse
- Tu me saoûles. Vraiment.

Elle fait glisser sa main sur mon bras et attrape ma main pour venir la poser sur son pubis :

- Touche.  Sens.  Regarde comment je suis quand tu es là.

En effet, Elle mouille très fort.
Et pour couronner le tout, ne lâchant pas ma main, elle se met à la faire bouger entre ses cuisses.  C'est lisse, ça glisse, c'est doux et chaud.  Je sens mon entre-jambe s'humidifier à son tour, mon bas-ventre devenir brûlant.  Alors j'enlève la main.

- Tu ne m'aimes plus ?
- C'est plus compliqué que ça...
- Alors tu m'aimes ?
- On ne peut pas appeler ça de l'amour.
- Explique moi...
- Regarde-toi. Tu as à peine 20 ans, tu es belle, jeune et désirable.  Va chercher des garçons de ton âge, cherche-toi d'autres copines.
- Je ne veux pas d'autres copines...
- Qu'est-ce que tu me veux ?
- Que tu m'aimes...

Ses yeux se remplissent une nouvelle fois de larmes, mais Elle se retient de pleurer.

- Je ne t'aime pas... Quand je te vois, j'ai juste envie de te défoncer la chatte, de te tordre les seins, de t'offrir à la vue de tous.  J'aime te voir jouir, voir tes yeux pétillants, entendre tes gémissements.  J'aime voir tout ce que tu fais pour moi, la peur dans tes yeux quand nous risquons d'être vues. Mais je ne t'aime pas.

- Montre-moi comme tu me détestes alors.

Petite salope.  Y'a plus de jeunesse ...

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