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Journal d'une fille facile ...
23 février 2011

23 février 2011

PetitPhilou et moi avons fait connaissance il y a plusieurs semaines, nous avons eu largement le temps de parler et je me suis aperçue qu'il avait l'imagination débordante à tel point que, histoire de changer un peu, il m'a proposé, lorsque nous nous verrions, un petit jeu afin d'apprendre à nous connaître de manière "ludique" et amusante : le Gage ou Vérité.  Dieu que je déteste ce jeu...
A peine arrivé chez moi, il me propose une liste de questions et de gages, tous à connotation sexuelle bien évidemment.  J'accepte tout, en me disant que certains gages, pour une première rencontre, sont quand même un peu "limites".  Mais soit... je suis joueuse !


Pour plus de confort, nous allons nous installer sur mon lit et, honneur aux dames, c'est moi qui tire le premier petit papier.  J'ai de la chance : vérité ! Je lui demande de me raconter sa toute première expérience sexuelle.  Là, je ne sais pas s'il joue au mytho ou pas, mais il me sort que sa 1ère expérience s'est passée dans un camping en vacances, il avait 17 ans et la fille en avait 30, c'était une bombe et elle l'aurait littéralement violé dans sa caravane, il se serait laissé faire sans résister.  J'avoue que l'histoire me paraît un peu too much mais je ne dis rien, après tout c'est peut-être vrai.


PetitPhilou tire un petit papier : gage ! C'est bien ma veine... Le premier gage tiré est : "fellation pendant 2 minutes".  Groumpf !!! ça commence fort...  d'autant que j'adore ça et je sais que 2 minutes, cela risque fort d'être grandement insuffisant !
Monsieur, un énorme sourire jusqu'aux oreilles (les hommes paraissent toujours ridicules quand ils savent qu'on va les sucer, c'est désolant... ), déboutonne son pantalon, vire les chaussettes, le caleçon et... oh ben il est déjà au garde-à-vous, ça va me faciliter la tâche !
Monsieur est monté comme un cheval.  Non, je mens, il est monté comme... un petit poney ? oui, c'est ça, un petit poney.  Assez épaisse et en évaluant intérieurement la situation , je me dis déjà que ça risque d'être "tout juste".  Je prends donc mon courage son sexe à deux mains et commence à tâter la bête.  La bête est déjà bien dure, légèrement nervurée, avec une tête luisante, véritable invitation à la gourmandise.  Les yeux calés dans ceux de PetitPhilou, je dépose ma langue à la base de son sexe et la fait remonter doucement jusqu'au gland que je suce légèrement, du bout des lèvres, pendant quelques secondes.  Au moment où il ferme les yeux, je fais glisser son sexe entièrement dans ma bouche, au plus profond, et remonte lentement pour des mouvements de va-et-vient.  Ses râles accompagnent les mouvements de ma bouche, puis de ma langue qui se fait une joie de tourner autour, monter, redescendre pendant que ma main droite masse doucement ses bourses.  Je me redresse un peu, histoire de le regarder gémir et prendre son pied, ma main le branlant à un rythme soutenu.  C'est alors que sa main attrape ma tête et la repousse vers son vît à la verticale, mais pile au moment où il s'immiscait à nouveau dans ma bouche, le chronomètre de mon téléphone nous prévenait que les 2 minutes étaient déjà passées.  Gggrrr...


A mon tour de choisir un petit papier : Vérité ! Pffff...
Un fantasme inavoué ? Il m'explique alors qu'il aimerait que sa première expérience sexuelle se répète : se faire littéralement violer sur place par une fille à la libido monstrueuse, n'avoir pas le temps ni la possibilité de réagir.  Par exemple, il se balade dans un magasin, une fille le voit, flashe sur lui et l'emmène de force dans les cabines pour lui faire sa fête.  Il n'a rien demandé et rien vu venir et la surprise le cloue sur place, il se laisse faire.  Puis la fille disparaît, satisfaite de son méfait.
Inutile de dire que ça me donne des idées :)


A son tour !  Gage : "sodomie pendant 1 minute".  Ce gage ne me dit rien qui vaille.  Je pense qu'à peine entré, le temps sera déjà écoulé... mais en fait, non ! c'était sans penser qu'avec moi, "ça rentre comme dans du beurre" !
Déjà bien excités par la fellation quelques minutes auparavant et étant restés sur notre faim, il n'en faut pas beaucoup pour nous motiver, même si une sodo pour débuter les enchères, c'est pas non plus ce qu'on a fait de mieux.  Je préfère en général garder ça pour plus tard, mais soit... je suis joueuse !
Cette fois, monsieur a la délicatesse de ne pas aller trop vite.  Lui est déjà nu, mais moi, je suis toujours habillée et c'est donc tout en douceur et en caresses qu'il m'aide à enlever la jupe et la culotte... pour finalement se retrouver derrière moi, ma bouteille de lubrifiant dans une main et une capote dans l'autre.  Oui, parfois, c'est pas très sex, mais bon.
Il n'y va pas de main morte avec le lubrifiant, il renverse la bouteille et je sens le liquide s'écouler entre mes fesses et glisser jusqu'à mon clitoris, j'en ai des frissons, ça fait un bien fou :) Pendant ce temps, il enfile le préservatif et d'une main, étale le liquide sur et entre mes fesses.  Je sens alors subitement la différence : autre chose me caresse, moins souple, moins agile que ses doigts.  Des petits mouvements de va-et-vient autour de mon petit trou, un visiteur qui ne demande qu'à visiter et qui ne s'en prive maintenant plus.  Le gland est toujours plus difficile à passer, mais il s'y prend bien, il y va doucement.  Je le sens qui m'investis, tentant d'aller le plus loin qu'il peut, je ne peux retenir quelques gémissements.  Oui, j'avoue, j'adore ça.  La sodomie et moi sommes très copines.  Ses mains agrippent mes hanches et les mouvements se font plus amples, plus cadencés.  Je regarde le chronomètre : 1 minute 30, le temps est déjà dépassé, il faut arrêter.
Mais non, il continue, de plus en plus vite, de plus en plus fort.  Je cale ma tête sur l'oreiller, j'attrape les barreaux du lit, je lui dis qu'il triche et il me répond que c'est pas grave.  Et il a raison, ce n'est pas grave, c'est trop bon, il ne faut surtout pas qu'il s'arrête.  2 minutes. Il me donne régulièrement des petites tapes sur les fesses, essaie de me tirer par les cheveux, ralentit, accélère.  3 minutes.  Je lui dis gémis crie que là, c'est de l'abus, son temps est dépassé mais il s'en fiche, les coups de reins se font de plus en plus rapides, il se colle à moi, me pince les tétons d'une main pendant que l'autre part à la recherche de mon clitoris, je suis au bord de l'apoplexie, je ne peux plus me retenir de crier dans les oreillers et c'est alors que hop! il se retire.  "Ayé, fini". 6 minutes 40. 
Salaud.


J'ai du mal à reprendre ma respiration, j'ai chaud mais je tremble un peu.  Et il se marre.


Dégoûtée de la life, je tire un autre petit papier.  Encore "vérité" ? Pfff c'est pô juste.
Ce que tu préfères qu'on te fasse, par dessus tout ?  "La branlette espagnole, voir la fille me sucer le gland quand j'arrive près de sa bouche".
Miam, ça me (re)donne faim


Sur ces bonnes paroles, il prend un papier au hasard sur la table de chevet et... gage : branlette espagnole, 1 minute 30 ! Bin tiens...
Avec mon 95D, j'ai le matériel adéquat pour ça, ça tombe plutôt bien.  Ni une ni deux, il se met sur moi et ne tarde pas à gémir.  Son sexe est devenu très sensible, il n'en faudra pas beaucoup pour lui faire perdre la raison.  Le voilà donc qui se faufile entre mes seins, il disparaît pour venir ensuite se caler à proximité de ma bouche.  Il redisparaît à nouveau, s'immisce, repart, revient.  Je tiens fermement mes seins pressés autour et à chaque retour près de ma bouche, j'en profite pour le gober, le lécher, le sucer.
Mais la minute 30 est passée.  Hors de question de le laisser profiter comme précédemment, je le repousse donc, un grand sourire moqueur sur le visage : "non non, c'est fini" et m'en vais choisir un autre petit papier. 


Et cette fois, j'ai enfin un peu de chance : gage !
J'ai enfin beaucoup de chance même : j'ai droit à un cunni pendant 4 minutes  You-houuuuu
Sur mon petit nuage je suis.  Je tapotte mes oreillers, m'installe confortablement et à peine suis-je couchée sur le lit qu'il m'écarte les cuisses et y plonge la langue. Mmmmhhhh un vrai bonheur, il sait y faire...  Il est doux et délicat, il y va d'abord par petites touches, des petits coups de langue bien placés, je le sens aspirer mon clitoris, ses doigts glisser en moi.  Je mouille de plus en plus et c'est alors que son pouce joue à tournez-manège sur mon clito que je suis surprise par un orgasme du tonnerre.  Oufti ! comme on dit chez moi
Mais seulement 3 minutes sont passées, il en reste une, il ne s'arrête donc pas.  Tout en continuant à s'innonder les doigts en moi, il repère mon gode à côté du lit et s'en empare.  Je sens qu'il va encore tricher : on avait dit un cunni ! Il n'en a queue faire et le fait glisser entre mes cuisses.  Finalement, je m'en fous aussi : c'est bon quand il triche.  A tel point que j'en oublie le chrono.  Quand j'y repense, on en est à 5 minutes 20 et il fait toujours aller et venir le gode en moi et je me tords dans tous les sens et je le sens qui tape au fond de mon vagin et je crie de plus en plus fort.  En général, je suis j'essaie d'être relativement discrète mais là non.  Tant pis pour les voisins.  Et encore une fois, c'est quand je suis au bord de l'orgasme que Monsieur arrête tout subitement : "voilà, fini". 7 minutes.
Aaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh :(


Il est mort de rire en tirant le prochain papier.  Evidemment, c'est encore un gage : "pénétration vaginale pendant 1 minute".  Pffff comme si ça allait être suffisant... Il va encore tricher, c'est sûr.  Il a intérêt à tricher. Seulement 1 minute, ça craind.  Non mais qui a pondu ces gages ?!
Le voilà donc qui enfile un nouveau préservatif et qui m'enfile ensuite.  Mouillée comme je suis, ça glisse bien.  Je me sens toute sensible de partout. 
Contrairement au cunni juste avant où il avait été plus doux, je vois subitement la bête se réveiller en lui, il se fait plus sauvage, plus "brutal".  Il faut dire qu'excités comme nous sommes...
"J'ai envie de te bouffer les seins".  Oui, bien sûr, sans problème.  Et nous profitons de sa tête enfouie dans ma poitrine pour inverser la situation : je suis sur lui, ses mains qui me griffent le dos, sa bouche qui s'attache à mes tétons.
"Aïe, ça fait mal !"
"Oh pardon"
Nos deux corps en sueur se balancent dans un même mouvement, de plus en plus rapide.  Il me presse les fesses pour que je sois au plus près de lui, totalement emboîtés l'un dans l'autre.  Ma main perdue dans ses cheveux, mes gémissements dans son oreille, ses dents sur mon épaule.
"Cette fois-ci, c'est toi qui triches !"
"M'en fiche"
"Salope"
"Ouais !"
A ces mots, ne se sentant plus de joie, j'ouvris plus largement les cuisses et il lâcha sa proie ...

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