09 mars 2009
J'ai sucé toutes ces bites. Une ridiculement minuscule, une autre énorme qui m'a giclé sur les seins, une troisième qui en voulait encore. Une main appuyait sur ma tête, je sentais ma glotte dépérir sous son joug.
Je me sentais chienne. Je me sentais pute. Une vraie salope en rut. J'en voulais encore et les voir se masturber devant moi, pour moi, sur moi, m'excitait au plus haut point. Je mouillais comme une folle.
Une heure avant, j'avais envoyé un message à l'Homme Parfait pour lui dire ce que j'allais faire. Il ne pouvait se libérer. Mais il était là, avec moi, en pensées. Et surtout excité, le téléphone vissé à l'oreille, à tenter de me parler, à attendre que je décroche. Je n'en fis rien. Je regardais le téléphone vibrer sous mon nez, un sourire narquois au coin des lèvres.