Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Journal d'une fille facile ...
1 octobre 2008

01 octobre 2008

Allongée sur le lit, dans la pénombre, je ferme doucement les yeux.  J'inspire à pleins poumons, lentement, afin de ressentir parfaitement l'air qui entre par mes narines, ou ma bouche, et pénètre ainsi mon corps.  Je m'étire doucement et mes mains touchent les barreaux du lit.  J'y agrippe les doigts de la main gauche, les enroule autour de l'acier. C'est froid.  Mon autre main caresse ma poitrine, les tétons durcis, soupesant mes seins lourds.  J'ai toujours été fière d'avoir une telle poitrine, volumineuse, certes, mais bien proportionnée, leur courbe bien ronde, les mamelles pas trop imposantes, les tétons légèrement rosés.  Je lui fais donc honneur, du bout des doigts.  Je sens les frissons parcourir mon dos, la chair de poule s'installer petit à petit.  J'ai envie.  Une grosse envie.  De sentir des doigts dans ma chatte, aller et venir, s'enfoncer et se perdre.  Alors j'y mets les miens.  Je suis déjà toute humide, douce chaleur. Mon bouton est gonflé par le désir, prêt à éclore et mes doigts qui lui tournent autour, ne faisant que l'effleurer.  Et l'agacer. Je garde les yeux fermés, la main gauche enserrant toujours les barreaux du lit, la main droite violant mon intimité.  Des allées et venues, un passage étroit, une petite colline qui durcit de plus en plus et le bouton qui éclot enfin, sensible, à l'affût de la moindre caresse.  Je gémis, c'est bon.  Mes doigts ne s'enfoncent pas assez loin à mon goût alors j'attrape le gode resté sur le chevet.  Il est long et froid mais je l'enfonce d'un trait, au plus loin, laissant échapper un râle.  J'écarte un peu plus les jambes, posant un pied dans chaque coin du lit, exposant ma vulve, libérant les fluides qui coulent et se fraient un chemin jusqu'entre mes fesses.  Des mouvements plus rapides, plus forts, et l'orgasme déchaîné.  Mes cris de chatte en rut.

Et lui, assis là, devant moi, dans un coin de la chambre, et qui n'en perd pas une miette ...

Publicité
Publicité
Commentaires
Newsletter
Publicité
Archives
Publicité